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La facilitation : une démarche concrète pour mieux travailler ensemble.
Dans les organisations, il n’est pas rare que des tensions émergent sans forcément dégénérer en conflit. Qu’il s’agisse de divergences de point de vue, de changements organisationnels mal compris ou d’un climat d’équipe fragilisé, ces situations peuvent freiner la collaboration et nuire à l’efficacité. C’est ici qu’intervient la facilitation, une approche proactive et structurée qui favorise le dialogue et la mobilisation des parties concernées. Qu’est-ce que la facilitation
Laurie Croteau
il y a 24 heures3 min de lecture
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Absence pour maladie et congédiement : quand la bonne foi est remise en question
Une récente décision du Tribunal administratif du travail (TAT) illustre les limites de la protection offerte par la Loi sur les normes du travail (LNT) lorsqu’une absence pour maladie est gérée avec insouciance par l’employé. Contexte de la décision Dans l’affaire Naksho c. 9293-7721 Québec inc. (Jus Jugo Juice), la plaignante allègue avoir été congédiée en raison de l'exercice d’un droit protégé par la LNT, soit celui de s’absenter pour cause de maladie (art. 79.1 et 122 LN
Laurie Croteau
3 nov.3 min de lecture
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Harcèlement psychologique : des gestes vexatoires isolés ne suffisent pas.
Dans une décision étoffée rendue le 4 juillet 2025, le Tribunal administratif du travail rejette une plainte de harcèlement psychologique déposée par un coordonnateur des loisirs de la Ville de Côte-Saint-Luc. Bien que deux gestes aient été reconnus comme vexatoires, le Tribunal conclut que ceux-ci ne suffisent pas à établir un harcèlement au sens de l'article 81.18 de la Loi sur les normes du travail . Valiquette c. Ville de Côte-Saint-Luc , 2025 QCTAT 2726. Un climat tendu,
Laurie Croteau
27 oct.3 min de lecture
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Tolérance zéro et civilité au travail : une suspension de trois semaines jugée justifiée.
Dans une décision récente, le Tribunal d’arbitrage du Québec a confirmé la suspension disciplinaire de trois semaines imposée à un salarié de la Ville de Montréal pour des gestes d’incivilité et d’intimidation envers un collègue. Cette décision, rendue dans l’affaire Ville de Montréal et SCFP-301 (Gianni Pellegrino), 2025 QCTA 238 , illustre avec rigueur les exigences croissantes des employeurs en matière de civilité au travail et les conséquences disciplinaires d’un écart d
Laurie Croteau
16 oct.4 min de lecture
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